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 |  Sujet: Arianna H. Carlima. A sweetie blondie bitchie Sam 21 Fév - 21:31 | |
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Arianna Habigail Carlima
20 Ans
Italienne
Picasso's Students: Photography
Feat Blake Lively
■ ■ ■Your Story■ ■ ■
3: 19 h. Nous sommes en Mille Neuf Cent Quatre-Vingt-Huit, au vingtième jour du mois d'août. Dans une clinique des beaux quartiers de Rome, chambre 295, un cris aigu se fait entendre. Des médecins s'agitent. Des larmes. Des larmes de joie, de soulagement. Des larmes d'inquiétude, d'incertitudes. Ce subtile mélange contrasté de sentiments heureux et pourtant effrayés. Ce subtile sentiment qui n'est rient d'autre qu'un bonheur palpitant. Ça y était, j'étais enfin arrivée. Moi Arianna, pas plus haute que trois pommes et aussi légère qu'une plume, tant désirée par mes jeunes parents, apeurés de ne pas faire ce qu'il fallait, rêvant d'être des parents modèles. Il est vrai qu'ils doutaient beaucoup, moi étant leur première enfant. Mon père, Enracio Edwardo Carlima, était de 2 ans l'aîné de ma mère, Silvia Ann Carlima, qui n'avait elle alors que 23 ans lorsque je suis arrivée. Ils se sont rencontrés sur les bancs de l'école alors que maman n'avait que 13 ans, sortant ensemble au bout de deux années d'amitié. Enfin, de semblant d'amitié, car, à ce que m'a avoué ma mère - et je veux bien la croire tellement ses yeux brillent à chaque fois qu'elle m'en parle -, ils étaient tout de suite tombés sous le charme l'un de l'autre sans jamais avoir osé faire le premier pas. Ça doit être ce que l'on appelle le '' coup de foudre ''. Ils ont finit pas se marier ensemble à 22 et 24 ans, soit à peine un an avant ma naissance. Aujourd'hui, couple fortuné et huppé, ils s'aiment toujours autant. Mais, assez parlé d'eux. J'aime être le centre d'intérêt des gens, même si je reste modeste en ne l'avouant qu'à moi-même. Oops, je crois que j'en ai déjà trop dit ...
Chap. 1 « Tu veux jouer avec moi? »
J'avais 4 ans, et c'était la rentrée. Je me souviens du sourire encourageant que m'avait fait Tatiana alors que j'hésitais à lui lâcher la main pour rentrer en classe pour la toute première fois. Tatiana était la jeune fille au père qui s'occupait constamment de moi, 24/24 h. Elle était d'origine Française, et devait avoir environ 18 ou 19 ans, je n'ai jamais su exactement. Mes parents n'avaient pas réussi à être les parents qu'ils avaient espéré, et étaient absents plus souvent qu'ils n'étaient présents. Aujourd'hui encore, c'est le cas. Ça n'a jamais affecté nos sentiments mutuels, même si je regrette qu'ils n'aient pas eu plus de temps a me consacrer. J'ai appris à compenser, mais je vous expliquerai tout ça plus tard. Revenons à cette matinée qui m'avait apporté une des choses les plus importantes à mes yeux aujourd'hui, si ce n'est la plus importante. C'est justement pour ça que je n'ai jamais oublié ce matin-là. Bizarre quand on sait que je mets toujours un temps fou pour retrouver mes clefs alors que je les ai simplement déposées sur un meuble de l'entrée la veille. Allez savoir. Je me souviens que je portais cette robe de célèbre couturier que ma mère avait fait importer de France en faisant des pieds et des mains afin que je '' sois la plus belle '' en ce jour de rentrée scolaire, comme elle aimait me le dire. Je n'ai jamais su de quel créateur elle était. Ce n'est pas la peine de me huer, je n'avais que quatre ans ... Bref, ce n'est qu'un détail pas important. Tatiana avait passé des heures à me coiffer, et ce serait malhonnête de dire que je n'aimait pas ça. J'adorais, et j'aime toujours autant, d'ailleurs. C'est si ... relaxant, quand quelqu'un touche vos cheveux ! Et je dois dire que ce n'était pas peine perdue. Même si je ne me souviens plus vraiment des détails, je sais que le résultat en avait vraiment valu le coup.
Comme je disais donc, c'était d'un pas mal assuré et hésitant que je me dirigeais vers la porte de la classe quand ''la maîtresse'' avait finit par décider qu'il était temps de nous faire rentrer. Je me retournais sans cesse, histoire de vérifier que ma nounou était toujours là. C'est donc arrivée dans la classe que je m'assis vers le fond de la classe sur une table double, car nous avions pas encore de places attribuées. Un garçon vint s'assoir à coté de moi. Il avait l'air gêné. C'était visiblement son premier jour à lui aussi. Nous n'étions pas tous comme ça, car certains avaient déjà fait une ''petite section'' ensemble, même si ils ne se souvenaient peut-être pas de tous les visages qui auraient du leur être familiers. Je faisais profil bas, même si j'étais vraiment de nature extravertie dans ma vie de tous les jours. Andrea - comme l'avait appelé la maitresse – lui aussi, visiblement. C'est vrai, quoi! Le monde semble tellement vaste et immense quand vous avez 4 ans ! Et ... Que vous êtes seuls.
A la récréation donc, au moins la moitié des élèves restaient seuls dans leur coin à attendre, ou espérer, prenez-le comme il vous plaira, que quelqu'un vienne les chercher. Pour ma part, j'étais dans le bac à sable, avec quelques enfants, mais chacun de nous jouait seul. C'est alors qu'Andrea s'approcha de moi et me demanda avec le même sourire qu'il a aujourd'hui, ce sourire qui le rend si mignon, celui qui fait tomber toutes les filles: Tu veux jouer avec moi?
Chap.2 « Qu'est-ce que j'ai fait?! »
UC.
Chap 3. « Elle fera ses études à New-York »
Ma robe Armani à peine enfilée, on sonna enfin à la porte. Tatiana, qui était finalement restée au service de ma famille, couru ouvrir la porte aux amis très haut placés de mes parents qui avaient été conviés à déjeuner. J'avoue que je n'était pas vraiment dans le meilleur des mes états, ayant fait la fête la veille jusqu'au petit matin à l'occasion de mon dix-septième anniversaire. Je n'avais pas lésiné sur l'alcool, et nous nous étions amusé comme jamais avec mon meilleur ami Andrea et tous nos amis très huppés dans la boite de nuit située en plein centre des beaux quartiers de Rome. Après un rapide coup d'œil dans le miroir, une retouche de rouge à lèvre et de fond de teint, je traversa le grand couloir au sol de marbre et descendis d'un pas rapide mais assuré les marches de l'escalier avant d'entrer dans le grand salon, où j'y retrouvai Thomas, mon petit frère de 13 ans, mes parents, et le couple d'invités, que je voyais pour la première fois. Tatiana arriva rapidement avec des flutes en cristal, l'apéritif débuta donc. Après avoir parlé politique, des actions de mon père, des affaires de Marco, et de la chirurgie esthétique que s'était offerte je ne sais qui, mes parents, comme a leur habitude, et à mon grand désespoir, commencèrent à débiter sur moi et à vanter leur fille soit disant parfaite à leurs yeux, en exagérant toujours les choses, en me qualifiant ''d'élève studieuse'' et de ''fille modèle''. D'accord, c'était touchant, mais franchement gonflant. Je n'avais jamais rien eu d'une fille exemplaire. Je faisais la plupart du temps la fête. Je faisais des choses vraiment pas catholiques. Je dépensais sans compter. Mes notes étaient assez élevées pour me faire entrer dans n'importe quelle université, mais n'étaient pas non plus glorieuses par rapport aux premières de la classe. Je ne voyais vraiment pas pourquoi ils faisaient tout ça. Commençant à m'ennuyer très sérieusement, apparemment comme Thomas, je commença à lui donner discrètement des petits coups de pieds sous la table avec un air complice, compatissant, mais aussi amusé. Il rentra très vite dans mon jeu et me rendit la pareille en faisant comme si de rien n'était devant les adultes pour ne pas paraître impoli. J'avais envie de rire, car j'aimais ces moments de complicité avec mon frère, quand une phrase attirant mon attention me refroidit soudainement. « Nous allons l'inscrire dans la meilleure université de New-York, et elle prendra le contrôle des affaires familiales une fois ses études finies. N'est-ce pas ma chérie?! » Tous les regards se tournèrent vers moi. Je me sentais mal à l'aise. Toute cette histoire n'avait jamais été prévue. Mon destin, je le connaissais déjà, je me l'était déjà imaginé, mais certainement pas comme ça. Je ne voulais pas de cette vie qu'avaient mes parents. Je voulais entrer dans cette école d'art avec Andrea, comme nous en rêvions tous les deux. Je voulais faire ce que j'aimais faire depuis toujours, de la photographie. Je ferais de superbes shootings, je recevrai des prix pour mon talent ''inouï'' comme le qualifierai les journalistes, je serai tout simplement reconnue pour mon talent. Je voulais être photographe, merde! En guise de réponse à se question qui ne semblait pas en être une, je fis un haussement d'épaule.
Après avoir mangé plus qu'ils ne l'avaient jamais fait auparavant, Marco et Stella s'en allèrent en début de soirée après avoir pris un thé comme nous aimions le faire. Je décida de parler de cette histoire à mes parents le plus rapidement possible, je ne voulais pas qu'ils se fassent d'illusions. Je savais cependant qu'ils seraient déçus, et peut-être même qu'ils ne comprendraient pas. J'avais raison. C'était surtout mon père qui l'avait mal pris. Et je comprenais. Mais c'était mon avenir, et je ne pouvais pas les laisser décider pour moi.
ll m'a fallu du temps, mais j'ai fini par réussir à les convaincre. Ils m'ont laissé entrer dans cette école, à contre-cœur certes, mais ils ont respecté mon opinion, même si les convaincre ne fut pas si facile. Aujourd'hui, je suis heureuse de pouvoir faire ce que j'aime, et eux, même si je les ai déçus, ne se portent pas trop mal par rapport à mon choix.
■ ■ ■ You are like... ■ ■ ■
[Dis nous tout sur ta personnalité, si tu es du genre timide ou au contraire extravertie, plutôt gentil ou méchant en 10 lignes]
■ ■ ■ How you live your life ■ ■ ■
[Dis nous si tu as des habitudes ou des manies, ce que tu aimes et ce que tu n'aimes pas en une dizaine de lignes]
■ ■ ■Why are you in this school ■ ■ ■
[Dis nous pourquoi et comment tu as attérit dans cette école d'art, raconte nous tout en détail environ 10 lignes]
■ ■ ■Because without them, Your life will be nothing ■ ■ ■
[Parlez nous de vos proches, amis, membres de la famille, etc... dites nous aussi comment quel genre d'amis vous êtes et de petit(e) ami(e). C'est toujours bon de savoir. 8 à 10 lignes au moins.]
■ ■ ■Behind your computer, who you are ■ ■ ■
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Je suis désolée, je reconnais que ma présentation n'est pas vraiment digne d'un forum comme celui-ci, mais j'ai déja beaucoup de travail alors que je viens de reprendre les cours. C'est pourquoi je me dépèche un peu de faire ma présentation, et qu'elle peut paraître un peu baclée même si j'ai essayé de faire attention.
Dernière édition par Arianna H. Carlima le Lun 23 Fév - 21:14, édité 1 fois |
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| | Sujet: Re: Arianna H. Carlima. A sweetie blondie bitchie Mar 24 Fév - 1:03 | |
| Bienvenue, bon courage pour la suite  | |
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Skye P. Scott
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| | Sujet: Re: Arianna H. Carlima. A sweetie blondie bitchie Mar 24 Fév - 1:24 | |
| Bienvenue Miss! Tu plaisantes j'espère ? Baclée ta présentation? Rien que le début  Vraiment hâte de voir la suite, et t'en fais pas, on comprend que tu n'est pas nécessairement le temps =) | |
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