Quel Boucan!! [LIBRE]

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Je dormais paisiblement réchauffée par les doux rayons du soleil matinal, du moins je le pense, avant qu'un vacarme fou me presse à enfouir ma tête sous mon oreiller. Je sens mon coeur battre à 100 mile à l'heure. Quelle idée de réveiller les gens ainsi! Je tente un oeil hors de ma cachète improvisé et lorgne mon cadran d'un mauvais oeil. 5h30, c'est l'heure qu'il affiche ce salle réveil. De nouveaux hurlements se font entendre. Je m'extirpe de sous ma couette et me retrouve sur mes pieds dans le temps de le dire, je m'empare de ma robe de chambre jettée de travers sur la chaise adjacente à mon lit et note au passage que le lit à la gauche du mien est vide. Presley n'était donc pas rentrée cette nuit? Alors c'est chaud pour ma petite protégée... Une nouvelle colonie de bruits me parvient et fait hérissé mes cheveux sur ma tête. Tout le monde sur ce palier sait pourtant que je suis de très mauvaise humeur le matin, donc pourquoi diable quelcqu'un s'amuserait-il à hurler tel un chien devant MA porte!?

Dans l'idée de trouver les réponses à mes questions, je me dirige vers la porte de la pièce et l'ouvre à grande volé avec la ferme intention d'apprendre les bonnes manières au petit imbécile étant responsable de mon réveil prématuré. Pourtant, les mots ne sortent pas tel qu'imaginer. Moi, Ofelia Clementelli, je reste bouche-bée devant le spectacle qui s'offre à moi.

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Ce matin là, une jeune demoiselle fut réveillée, par le son strident qui émanait de son réveil. Elle n'arriverait donc jamais à le régler? Et bien tant pis! Sa main tatonna dans le noir, et tomba enfin sur ce maudit réveil responsable de sa mauvaise humeur. C'est alors qu'elle vit l'heure. Il était 5h00. Elle poussa un long soupir et se leva. La jeune demoiselle, ses cheveux devant les yeux tatonna pour trouver le bouton pour la lumière. April réussit à le trouver et une douce lumière, éclaira la chambre. La jeune Leslie dormait, April distinguait juste sa tête qui était en dehors des draps blancs. April dégaga d'un geste ample de la main, ses cheveux.
Elle rentra dans la salle de bain et entrepris de se peigner tout en allumant son mp3. Elle se coiffait donc, la musique réonnait dans ses oreilles et lui donnait de l'énergie pour commencer la matinée. Sa mauvaise humeur s'était déja évanouie et un sourire satisfait s'étalait sur les fines lèvres de le jeune demoiselle. Elle avait laissé ses cheveux lachés et ses cheveux bouclaient au niveau des pointes ce qui leur donnait un joli aspect. La jeune femme revint dans la chambre ou sa colocataire continuait de dormir, bizarrement le réveil ne semblait pas avoir d'effet sur elle. Quelle chanceuse! April ouvrit un tiroir de la commode et sortit de quoi s'habiller. Un tee-shirt marron et un jean gris. C'était les premiers habits qui lui était tombé sous la main. Elle n'avait aucune envie de chercher, de quoi bien s'habiller.

Un fois prète, elle sortit en fermant doucement la porte. Les couloirs n'etaient vraiment pas remplis. Elle commenca une ballade matinale, dans l'espoir de pouvoir trouver une personne avec qui elle pourrait discuter. Puis un brouhaha de cris résonnèrent dans ses oreilles. Elle accélera le pas, et se diriga selon le bruit. C'est alors qu'elle vit un jeune homme en train de crier. Lorsqu'il la vit, il se sauva en courant. April s'apprétait à courir après lui mais une porte s'ouvrit. C'est alors qu'elle vit surgir un visage qu'elle connaissait. Elle sursauta de surprise et dit paniquée:

- Ce n'est pas moi, je te jure.

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Ma copine, April, l'une des filles les plus chic que je connaisse. Elle? La responsable de mon malheur matinal? Pourtant elle sait très bien que le fait de me réveiller pourrait très bien ruiner notre amitié...Mon cerveau n'étant pas encore totalement apte à travailler me fait divaguer. je croise les bras sur ma poitrine et fronce les sourcils. Je fais un pas vers l’avant de manière à me retrouver dans le couloir. Je penche le corps vers l'avant et tourne la tête vers la gauche: rien, personne en vue. Je répète le geste vers ma droite et toujours rien. Je me redresse et toise mon amie d'un mauvais œil. Si elle avait décidé de me jouer un tour, la blague était de très mauvais gout. Je me racle la gorge en incline légèrement la tête sur le côté.

- J’attends tes explications?

Puis, d'un seul coup, sans prévenir et selon moi sans élément déclencheur, elle éclate de rire. Quoi ma tête est si horrible que cela...Je pencherais plutôt pour ma piètre crédibilité. Je roule les yeux pendant qu'elle tarde à se lancer dans ses explications. Elle finit tout de même par m'exposer els faits. Tendis qu’elle s'élance dans sa version des faits, on pénètre dans ma chambre et refermons la porte. Je l'écoute d’une oreille, mais me concentre surtout à rejoindre mon lit. Je me jette de travers sur se dernier, le ventre et la tête bien enfoncé dans le matelas, matelas de moindre qualité sois disant passant.

Ma jeune amie termine son monologue, et je me contente d’hocher la tête, me fichant complètement de ce qui s'était produit. Tout ce que je veux s'est retourner dans les bras de Morphée. J'ai bien l'impression que mon souhait de s'exaucera pas de si tôt, puisqu'April prend place sur le lit voisin du mien et semble prête à avoir une longue et terrible discussion...Habituellement je suis d'Humeur à divaguer des heures durant avec elle, mais pas à 5 heures du matin. Bon sang il fait encore nuit! Je relève a tête et la regarde bizarrement

- Qu'est-ce que tu fais debout à cette heure d'abord?

» Et si ta vie était un film, quel en serait la B.O?
» S'ennuyer moi? Oui et alors![libre]
» rainbow-haired_painter@hotmail.com [libre]